Bonsoir à vous Orlando,

Avant tout, merci de votre passage chez moi et soyez ici le bienvenu, où la censure n'existe pas.
Après quelques discussions que nous avions eu ces jours précédants, j'ai fait cette comparaison au funambule que nous connaissons tous.
Saisissez vous l'idée?

Je vais suivre par un extrait de texte de Charles Baudelaire.

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir; il descend; le voici:
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
(...)

Je vous embrasse Orlando.

Bonsoir à vous Jeff,

Suite à un article que je viens de supprimer, je me suis rendue compte que vos deux commentaires ont aussi disparus.
Je tenais donc à m'excusez auprès de vous.
Je vous embrasse.

A MarideMary,

C'est avec bien du retard que je tiens à te remercier de ton gentil commentaire.
J'espère que l'allée est toujours harmonieuse et que tu trouves la quiétude.
Je t'embrasse au plaisir de te lire.

A Michel Debray,

Vos visites régulières me font réellement plaisir.
Vous nous ravissez si souvent du côté de chez vous.
J'aime beaucoup l'anticléricalisme primaire.
A bientôt, je vous embrasse.

Alana