Toutes les tendances fabricatrices sont évanescentes...
Tout ce qui
est evanescent s'achève dans la douleur.
Tout ce qui est douleur est exempt de soi et ce qui est exempt de soi est vide.
J'écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pentre autrement que je ne devrais penser,
et ainsi jusqu'au plus profond de l'obscurité.
En-dessous de chaque article, vous trouverez différentes catégories suivant mes humeurs journalières.Mes doutes,
mes envies, mes plaisirs, mes peurs....Etc...Etc...
Il dépend de celui qui passe
Que je sois tombe ou trésor
Que je parle ou que je me taise
Ceci ne tient qu'à toi
Ami, n'entre pas sans désir.
Paul Valéry
Il y a 64 ans aujourd'hui, de jeunes gens se sont lancés à l'assaut de la forteresse Europe comme on disait à l'époque. Malgré leur peur tout à fait légitime, ils ont investis cette forteresse
par la mer mais aussi par la voie des airs. Ce jour là, le destin de l'europe a basculé. Face à ces immences rangées de croix blanches, un seul mot vient à l'esprit : merci.
Ils sont là, entassés depuis des jours.
Ils imaginent bien ce qui les attends.
Tout autour la pluie. Putain de temps !
Combien verront le chemin du retour...
Par air ou par mer, c'est la traversée.
Depuis des mois tout est planifié.
La moindre cartouche est répertoriée.
Maintenant, ils partent. c'est décidé.
Qu'elle est longue cette taversée.
Et trop courte en même temps.
Mon dieu, là-bas que vont-ils trouver ?
Peu importe, courir c'est le plus important.
Sur la plage, c'est le calme avant la tempête.
Au large, une armada comme on en a jamais vu.
Sur les plages un mur qui ne peut être rompu.
Et surtout la même pensée dans toutes les têtes...
Après la bataille, une seule constation.
D'un côté et de l'autre la même couleur de sang.
Décrire ce qui s'est passé ne serait pas décent,
Quel était l'enjeux ? L'avenir de plusieurs nations.
Que reste t-il de ce jour où tout bascula ?
Une Europe de liberté comme j'aime à le croire.
Et des champs de croix blanches et noires.
C'est l'une des traces de ce qui se déroula.
Dans 100 ans, j'espère qu'on se souviendra
Qu'un jour pour nous, des hommes sont morts ici.
Toutes les générations vous diront merci.
Car pour nous plus jamais la paix ne souffrira.
Texte de Duncan.
C'est encore une fois un magnifique poème que tu nous offres, je t'en remercie et je t'embrasse. Alana.
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