Je suis en colère ce soir, de voir mes mots placés sur un autre blog, sans que l'on m'est demandé préalablement l'autorisation, parce que je pense qu'il y a un minimum de délicatesse à avoir.
Ces mots était pour une personne, à un moment précis, et je dois dire avoir eu une une drole de sensation lorsque je me suis relue ailleurs. 
De voir  sur ce blog suivant les pages, une pale copie du mien.
Lorsqu'au fil de mon Blog, j'y ajoute des textes, ils ne sont pas simplement là parce que la prose y est mélodieuse, c'est aussi parqu'ils font références à des choses bien précises.
Et j'y note systématiquement le nom de chaque auteur, tout comme les textes que Max Louis Marcetteau avait écrit pour moi fut un temps.

Flash Back

C'est dommage, nous nous sommes connues, je n'avais plus de nouvelles de toi depuis fort longtemps, parfois, je passais sur ton blog pour voir s'il y avait du changement, puis rien, et je ne suis plus venue, jusqu'à aujourd'hui, j'ai vu que ton blog avait repris et j'étais contente d'aller de page en page.
Jusqu'à ce moment...
Ce moment fut pour moi spécial, il ne reste plus que ces lignes sur mon blog, je n'avais pas envie de les voir ailleurs.
J'espère que tu compendras, et que tu auras la delicatesse de les retirer par respect pour moi.

Alana.

http://web.cheapnet.it/nikguerra/


" Enfin, ma chère Eléonore,
Tu l'as connu ce péché si charmant.
Que tu craignais même en le désirant :
En le goûtant, tu le craignais encore.
Eh bien, dis-moi, qu'a-t-il de si effrayant?
Que laisse-t-il après lui dans ton âme?
Un léger trouble, un tendre souvenir,
L'étonnement de sa nouvelle flamme,
Un doux regret, et surtout un désir "

Evariste de Forges de Parny  (1753-1814)

Bonsoir Duncan, 

Je viens juste de m'apperçevoir de ton joli texte, j'en profite pour le rajouter ici même afin que tout le monde puisse le lire.


 Contradictions... - parler d'avenir en comparant le présent au passé - perdre de précieuses minutes pour trouver le moyen de gagner du temps - protéger la paix en déclarant la guerre - être deux à être seul - être seul en étant deux - dinner devant une rediffusion des Enfoirés - dormir dans la rue au pied d'un immeuble vide - être entouré de moyen de communication et se sentir isolé - vivre pour travailler et non travailler pour vivre - inciter à une consommation forcennée et parler d'écologie La liste est longue et les contradictions de plus en plus grandes. Coluche disait : "Quand on croit à l'existence de Dieu, il faut croire à l'existence du Diable. Il faut bien admettre que le Diable l'emporte." Je vous laisse méditer là dessus....pour ma part, je ne comprends pas toujours tout. Une dernière pour finir la liste : - Parler pour ne rien dire C'est probablement ce que j'ai fait ici mais qu'importe : pour moi ça vallait le coup d'être dit.


Je t'embrasse, voilà un moment que nous n'en avions lu, je t'en remercie et t'embrasse.

P/S: je vais rajouter en disant que l'on ne parle jamais pour ne rien dire :).

Bonjour Jeff,

Nous sommes tous habités de peurs plus au moins ancrées en nous.
Parfois, nous les domptons, puis d'autres nous nous efforçons de vivre avec elles.

J'ai opté pour la première, non pas sans mal, j'en profile les contours.

Au plaisir, je t'embrasse.

A Duncan,

Liberté!!!

De revendiquer au péril de sa vie.
Souhaiter l'affranchissement des êtres est un de plus beau geste qui puisse exister.

A bientôt, je t'embrasse.

A Alexis,

Merci de nous livrer vos vérités.

Je vais dire rester moi même en toutes circonstances, préfèrant également les vérités blessantes aux mensonges.

Je ne vie PAS dans l'"imposture".

Au plaisir, bises, Alana.

S'il-vous-plait permettez-moi de me présenter. Je suis un homme de goût et fortuné.
Je suis là depuis de longues longues années, et j'ai volé à beaucoup d'hommes leur âme et leur foi.
J'étais là quand Jésus Christ eut son moment de doute et de douleur.
J'ai sacrément assuré que Ponce Pilate S'en lave les mains et scelle son sort.
Enchanté de vous connaître j'espère que vous devinez mon nom.
Mais ce qui vous intrigue c'est de comprendre en quoi consiste mon jeu.

Parole de Rolling Stones : sympathy for the devil

Hier soir, suite à une consersation, j'avais dans l'idée d'y placer une partie de notre discussion.
J'avais des pensées à developper, tout compte fait, il n'y aura rien...

Je cède la place au vide.